Un peu de poésie dans un monde de brutes…

Je laisse derrière moi les oripeaux de la haine et pose le pied sur le chemin de l’oubli, lisse comme aux premières heures du jour…
Sur le chemin du renouveau, là où les papillons dansent avec la lumière, j’abandonne les écailles du passé pour parfaire ma mue.
Sur le chemin de l’espoir, déchirant ma chrysalide de douleur, je deviens autre.
Nouvelle, pleine de larmes mais sans colère, je lève la tête vers les étoiles et m’abreuve d’espérance. Le chemin scintille devant moi, me tendant ses bras, et le vent me murmure les multiples autres aventures… possibles, uniquement, si j’accepte de les saisir.
J’ouvre les bras et m’ouvre au monde. Je veux vivre.

B. Jaël

2 commentaires

  1. juin 20, 2011 à 11:08

    Je m’ouvre au monde…
    il y a aussi le réel…
    est-ce la même chose?

    • vala said,

      juin 20, 2011 à 5:34

      Chacun peut avoir la réponse qu’il préfère à ce sujet. Je ne pense pas que le réel soit la même chose que le monde. L’univers est, après tout, aussi fait et tissé de rêves, de pensées et de souhaits…


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